Ce mot prend aujourd'hui, pour moi, tout son sens et se conjugue en trois temps.
Quiétude du parent que l'on chérit qui sans douleur, sans souffrance glisse doucement vers la fin.
Quiétude de la famille qui, au rythme des respirations de plus en plus apaisée du parent, se recueille, et prend le temps de laisser, l'être cher, partir.
Quiétude des équipes, qui partagent et accompagnent en empathie, en compassion sans bruit, sans heurt, le parent et la famille.
Oui, soulager la souffrance physique, morale est à mon sens primordiale pour que le trio : résident, famille, équipe, puisse aborder la phase finale, la mort, en quiétudes qui s'imbriquent toutes les trois en parfaite harmonie.
21 septembre 2009
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